20h30 :: CONCERT :: Sulphat’ Ketamine + Ubikar + Le Bonk
> Sulphat’ Ketamine (Progressive Rock and Soul Music)
Mars 6666, explosion de la Quatrième dimension, le temps n’existe plus… ils l’ont fait… il avaient raison… Perdue dans le cosmos, la navette SK8 cultive un genre nouveau à deux mille à l’heure… Les chocs de fragments de météorite percutant la carlingue de l’appareil en y produisant des rythmes saccadés inspire à l’équipage une musique qu’ils baptisent le “RUNK”, en hommage aux suédois, mais aussi à Trettioariga Kriget. Tiraillés par la haine, foudroyés par le destin, annihilés par la rage, ils pensaient être perdus à des milliards d’années Prepus de la terre, dans l’espace-temps qui n’existait plus, alors que pas du tout c’était nickel. Proverbe Sulphatien ; il n’y a que la lumière qui peut voyager à la vitesse de la lumière.
https://www.youtube.com/watch?v=16LMDWnWobc
> Ubikar (Rock électronique)
Trio de rock électronique originaire de Lyon, Ubikar propose un son à la fois organique et électronique. Avec leur troisième album « VELD », Ubikar puise toujours autant dans le rock que dans la bass music et gagne en envergure en rassemblant de nouvelles collaborations à l’international (Warrior Queen, Killa P, Stig Of The Dump & Legion Of Goon). Tout en invoquant la puissance fédératrice de leur précédent album, Ubikar élargit sa palette sonore et affirme sa maturité.
https://www.youtube.com/watch?v=KJlSHhg_iJ4
> Le Bonk (Electro brass)
Incapables de s’entendre sur une playlist de soirée, fatigués de se mettre sur la gueule au moment de régler la radio, cinq colocataires aux goûts musicaux très différents décident de créer Le Bonk, pionnier de l’Electro-Brass, bâtard hasardeux issu d’un coït dégénéré entre l’agressivité de la toute-puissante Techno des free party, la virtuosité virile du Balkan kitch, le cri enragé et souffreteux du Jazz New-Orleans et la nonchalance sexuello-sexuelle du groove latino. Cette chimère musicale a pour dessein d’être comprise et aimée systématiquement de l’humanité entière. Jailli du bouillon populaire des cultures de la rue, émanation de l’internationale des ghettos de la Terre, Le Bonk veut produire un son efficace et explosif sur scène : chaque concert voit le public osciller entre l’émeute et l’orgie, poussant les agents de sécurité à la bavure. Bref, un cocktail Molotov qui n’attend que de taxer un zippo à un pélo pour s’enflammer…
https://www.youtube.com/watch?v=5I8riYwyq4Q