« … Conteur du quotidien, gardien de la mémoire. Tu parles le langage de toutes ces vie, la langue de tous ces passages souverains qui sans toi resteraient la proie du silence. Donnes-moi des nouvelles de ton pays réel et du sable juste, des vivants qui rêvent ? » Patrick Chemin.
« … Ils sont beaux tes mots, Moha. Ils bousculent nos silences, interrogent nos chemins. Saida Fikri chante pour toi, pour toutes les Khadija oubliées, pour l’espoir qui gonfle ses voiles vers le pays du bleu. Ce Maroc que tu aimes et qui gonfle ses voiles vers le pays du bleu. Ce Maroc que tu aimes et qui danse sous l’encre des amoureux. » Michel Etievent.