Même si la pollution lumineuse rend le ciel de plus en plus difficile à observer pour tout un chacun, les progrès de l'astronomie professionnelle et de l'astrophysique sont impressionnants. Les découvertes extraordinaires se succèdent à un rythme soutenu, améliorant continument notre connaissance de l'univers. Ainsi, pour ne citer que quelques exemples parmi beaucoup d'autres, on ne compte plus les découvertes de planètes gravitant autour d'autres étoiles (les exoplanètes) et on arrive même à en visualiser certaines, alors qu'il y a quelques années, on ne pouvait qu'observer indirectement leur présence. Deuxième exemple, le reliquat du rayonnement lumineux qui fut émis quelque temps après de la création de l'univers dans lequel nous vivons, c’est-à-dire après le Big Bang. Sa cartographie précise nous rapproche de plus en plus de ces instants ultimes. Enfin, la mise en évidence expérimentale des ondes gravitationnelles, qui ouvre certainement la voie à une nouvelle branche de l'astronomie, branche qui n'est plus basée sur l'observation de la lumière mais sur la déformation de l'espace. Néanmoins, malgré tous ces progrès, des phénomènes incompris restent à expliquer par de nouvelles théories à développer, par exemple les masses et énergies que l'on n'arrive pas à observer, et que l'on surnomme masses et énergies noires, ou bien l'origine de la vie sur Terre, que l'on cherche entre autres dans les comètes.
Venez-vous tenir au courant des dernières nouvelles du ciel et discuter de toutes ces questions avec les meilleurs chercheurs du domaine lors du café scientifique du 11 octobre 2018.
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